Le chercheur finlandais s'est basé sur la cartographie de la taille des pénis pour établir son étude.
Un Finlandais, chercheur en économie et politique, soutient qu'il existe une corrélation entre la taille moyenne du pénis en érection des habitants d'un pays donné et le niveau du PIB de celui-ci. De là à y voir un lien de cause à effet? À lire sur Slate.fr.Après la cartographie de la taille des pénis, ou encore l'étude démontrant la relation entre la taille du pénis et celle de l'index et l'annulaire, voici une nouvelle étude qui met en avant le sexe masculin.
Petite qui frétilleTatu Westling est doctorant du département d'études économique et politique de l'Université d'Helsinki en Finlande. Il s'est penché sur l'influence de la taille moyenne du pénis sur les performances économiques d'un pays. Et à en croire ses observations, Westling se rangerait plutôt du côté des défenseurs de la doctrine qui voudrait qu'il vaut mieux une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille. Disons plutôt que la corrélation entre les deux variables prendrait "la forme de U inversé".
La taille du pénis qui maximise le PIB d'un pays se situe à 13,5 cm. Il observe une nette chute du développement économique quand la taille moyenne dépasse 16 cm ou se situe au-dessous de 12 cm. "Bien que les trouvailles restent indicatives à ce stade, l'hypothèse de l'organe masculin explorée ici résiste à une panoplie de contrôles exhaustifs et s'appuie sur des corrélations étonnement fortes" écrit Westling.
Collecte aléatoirePour affiner son étude, le chercheur s'est basé sur la carte mondiale de la taille du pénis, mise en ligne en mars dernier par Targetmap. Cela dit, peu accordent à ce genre de données chiffrées une fiabilité empirique compte tenu de leur collecte pour le moins aléatoire, vu qu'elles se fient à la fois aux chiffres d'autorités sanitaires tout à fait sérieuses et aux résultats d'études moins précises, faites à partir de questionnaires.
Face à diverses critiques, l'auteur de l'étude a voulu mettre en évidence les fortes corrélations entre les deux indices. "Cela avait commencé comme un essai à moitié sérieux, mais je ne m'attendais pas à trouver des corrélations aussi fortes. Je vais peut être la soumettre à une revue économique. Mais le sérieux ne signifie pas que je crois en un lien de cause à effet pour le moment". (7sur7)